Didier Drogba « The King »
Le roi. 104 buts en 254 matchs pour Chelsea, 65 en 105 sélections pour la Côte d’Ivoire. Quatre titres de champion anglais, quatre médailles de vainqueur de la Coupe anglaise, une victoire en Ligue des champions de l’UEFA, deux souliers d’or. Drogba a amené Chelsea à des sommets jamais atteints et a fait rêver toute la Côte d’Ivoire. Longue vie au roi!
Francesco Totti « Il Bimbo d’Oro »
C’est en 1989 que l’enfant doré romain a enfilé pour la première fois le maillot giallorosso. 27 ans plus tard, il est le deuxième marqueur de l’histoire de la Serie A avec 248 buts et l’un des rares joueurs de l’ère moderne à avoir passé sa carrière entière dans un seul club. Avec un titre de Serie A, deux Coupes d’Italie et une Coupe du monde, Totti mérite toute l’admiration qui lui est portée.
Javier « Chicharito » Hernandez
L’attaquant mexicain du Bayer Leverkusen et ex-Manchester United a hérité de son surnom grâce à son père et ses yeux verts. En effet, Chicharito signifie « petit pois ». Des fois, il ne faut pas se casser la tête…
Lionel Messi « La Pulga Atómica »
Tout simplement « la puce atomique ». Messi a mérité son surnom non seulement en raison de sa petite taille (170 cm), mais aussi grâce à sa vivacité et à sa rapidité à effacer les défenseurs adverses.
Cristiano Ronaldo « CR7 »
Bien que ce surnom émane simplement des initiales et du numéro du capitaine portugais, il lui sied à merveille : un avion de Bombardier est ainsi identifié, ainsi qu’une galaxie découverte en 2015. C’est un oiseau? C’est un avion? Non, c’est CR7!
Alfredo Di Stéfano « La Saeta Rubia »
Quand on parle de cinq championnats consécutifs de 1956 à 1960 grâce à un #9 légendaire, le Canadien et Maurice « Rocket » Richard ont de la compagnie. La flèche blonde, l’Argentin Alfredo Di Stéfano, a rempli les filets d’Espagne et d’Europe, en plus de l’armoire à trophées du Real Madrid. Celui que plusieurs considèrent comme le plus grand, le plus complet, a marqué 418 buts en 510 matchs, mais c’est surtout pour les cinq Coupes d’Europe consécutives – un exploit jamais passé près d’être égalé – qu’on se souvient de Di Stéfano.
Ronaldo « Il fenomeno »
C’est lors de son premier passage en Italie, à l’Inter Milan, que Ronaldo (le Brésilien) a mérité le surnom de « phénomène ». Il faut dire que sa fiche de 56 buts en 91 matchs avec les Nerazzurri est assez phénoménale merci.
Diego Maradona « El Pibe de Oro »
Le garçon en or a un palmarès, effectivement, doré : vainqueur de la Coupe du monde 1986, finaliste de la Coupe du monde 1990, élu meilleur joueur du XXe siècle, champion d’Italie, champion de la Coupe d’Espagne et 312 buts en 589 matchs en carrière, dont le plus beau but de tous les temps selon certains et le pire but de tous les temps selon les Anglais.
Pelé « Pérola Negra »
Le débat du meilleur joueur au monde ne date pas d’hier. Ronaldo ou Messi? Pelé ou Maradona? La perle noire brésilienne a plus que son mot à dire dans cette conversation. Trois Coupes du monde, deux Coupes Libertadores, six championnats brésiliens, titre d’athlète du siècle selon plusieurs médias internationaux et 643 buts en 656 matchs officiels l’élèvent parmi la royauté du foot.
Fitz Hall « One Size »
Cet obscur défenseur central anglais fait partie de notre liste en raison de ce spectaculaire surnom. Chapeau (taille unique).
Andrea Pirlo « L’architecte »
Qui ne voudrait pas partager une bouteille de vin avec Pirlo? Au sommet de sa forme, l’Italien n’avait pas à se déplacer énormément au cœur du milieu de terrain : son talent, sa vision et sa prise de décision lui permettaient de casser les blocs défensifs adverses en mille morceaux. Sa distribution dirigeait et construisait les attaques de son équipe. Son allure a probablement aussi quelque chose à jouer dans ce surnom.
Tomas Rosicky « Petit Mozart »
Le milieu de terrain offensif pragois a subi son lot de blessures en carrière, nous privant ainsi d’un joueur que tout fan de soccer a du plaisir à voir jouer. Numéro 10 à sa plus simple expression, c’est lors de son passage au Borussia Dortmund qu’il gagne son surnom de « Petit Mozart » pour son habileté à diriger et à orchestrer le jeu.
Gennaro Gattuso « Pitbull »
Deux titres de Ligue des champions de l’UEFA, deux championnats italiens et une Coupe du monde des clubs : le palmarès de Gennaro Gattuso est intimement lié à celui de l’AC Milan. Et bien qu’il n’ait marqué que 17 buts dans une carrière s’étalant de 1995 à 2013, il a marqué le foot italien de par son énergie, sa détermination et sa capacité de travail énormes.
Ricardo Izecson dos Santos Leite « Kaká »
Le récipient du Ballon d’Or 2007 (la même année où il a gagné la Ligue des champions avec l’AC Milan) tire son surnom d’une anecdote attendrissante : son petit frère Rodrigo, aussi joueur de soccer professionnel, incapable de prononcer « Ricardo », l’appelait « Caca » lorsqu’il était bambin. Le surnom a évolué et est devenu le Kaká qu’on connaît aujourd’hui.
Tony Adams « Mr. Arsenal »
Ayant porté les fameuses couleurs du club du nord de Londres de 1983 à 2002, Tony Adams a connu l’époque du Boring, Boring Arsenal et celle du Wengerball. Membre du famous four qui était reconnu pour son étanchéité, Adams s’est renouvelé sous Arsène Wenger. Quatre championnats anglais et trois FA Cups démontrent son importance dans l’histoire des Gunners.